Il venait de célébrer ses 90 ans. Fidel Castro est mort. Qu’on l’aime
ou qu’on ne l’aime pas, tous doivent admettre que sa participation à l’Histoire
a été immense.
Sans la Révolution cubaine, dont il a été le principal artisan,
qui a commencé vers le milieu des années 1950, jusqu’au triomphe avec l’entrée
des Barbudos dans la capitale du pays, La Havane, en janvier 1959, la carte de
l’Amérique latine et du monde n’aurait pas été la même. Nelson Mandela en était
convaincu, lui qui a vu son pays être libéré «grâce à la sanglante résistance
de l’armée cubaine aux forces sud-africaines».
Pour un petit pays comme Cuba,
considéré, à l’époque, comme le bordel des États-Unis, avec à peine six
millions d’habitants, c’était une tâche colossale.
Changer le rapport de forces
entre un pays du tiers monde, sans grandes ressources, un pays de monoculture,
et la plus grande puissance du monde a exigé énormément d’efforts, de
souffrances, de sacrifices, de générosité et d’inventivité.
Nous avons tous bénéficié
de la victoire de David contre Goliath, qu’on le veuille ou non.
Il y a eu un
avant et un après.
L’exemple qu’un meilleur monde était possible se réalisait à
90 milles des côtes américaines...
VIVA FIDEL,
VIVA LA REVOLUCION,
VIVA CUBA LIBRE…
VIVA LA REVOLUCION,
VIVA CUBA LIBRE…
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